Alors que la force régionale traque toujours les éléments djihadistes le long de la frontière entre le Niger et le Nigeria, jusqu’au lac Tchad, un centre pour ex-combattants de Boko Haram a ouvert ses portes depuis décembre dernier à Diffa. C’est là que s’est rendu Nicolas Pinault, l’envoyé spécial de VOA Afrique au Niger : rencontre avec les repentis de Boko Haram.
En images : les repentis de Boko Haram au Niger
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Combattants repentis de Boko Haram dans un camp de transit à Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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Des militaires montent la garde devant le centre de transition des repentis de Boko Haram, Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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Des ex-combattants de Boko Haram dans le centre de transition des repentis de Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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Des ex-combattants de Boko Haram dans le centre de transition des repentis de Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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L'un des bâtiments du centre de transition des repentis de Boko Haram, Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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Des ex-combattants de Boko Haram dans le centre de transition des repentis de Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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Ibrahim, 14 ans. Ce mineur a été kidnappé par Boko Haram pendant deux ans avant de réussir à s'enfuir, Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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Malam Boucar Adam était enseignant avant de rejoindre Boko Haram. Il prétend n'avoir tué personne lorsqu'il servait de soignant pour les combattants de Boko Haram, Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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Moustapha Aboubacar, ex-combattant de Boko Haram, affirme ne pas savoir s'il a tué ou non durant ces années dans l'organisation. Le déni est courant chez les djihadistes repentis, Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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Un ex-combattants de Boko Haram lave son linge dans le centre de transition des repentis de Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
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Du linge étendu sur les barbelés du centre de transition des repentis de Diffa, Niger, le 17 avril 2017 (VOA/Nicolas Pinault)
